Comme si leurs propos de début janvier n'avaient pas suffi, les syndicats en rajoutent une couche - cette fois-ci apparemment soutenus par la Confédération...
Comment peut-on appeler autrement que du communisme ce genre de propos, qui implique de forcer une personne à employer une autre personne qu'elle ne souhaite pas employer ?
Pour nous, l’employé victime d’un licenciement antisyndical devrait pouvoir réintégrer son entreprise.