Comme prévu, la police se montre incapable d'enrayer le marché de la drogue, et ce, quelle que soit le niveau de répression. Comme prévu, son action ne fait que mener à des produits plus concentrés et plus dangereux. Alors que pas un jour ne passe sans que des plantations de chanvre soient détruites par la police, le chef même de la police genevoise constate que : « L’offre de stupéfiants a explosé à Genève ».