Les lieux privés sont devenus des lieux ouverts au public, et deviennent maintenant des lieux publics tout court :
Un établissement public demeure public même pour une fête privée
Le propriétaire d'un lieu privé fermé au public s'est ainsi vu condamner à 300 francs d'amende (plus les frais) pour avoir fumé une cigarette chez lui.
C'est pour son bien. Bon, mais comment expliquer, dans le cadre de la même politique bien-pensante anti-tabac, l'imposition de produits qui ne contiennent pas de tabac ?
Et à quoi sert le produit de cet impôt sur le tabac ? À subventionner la production de tabac ! Appliquer la loi sur l'imposition du tabac à des produits sans tabac, et utiliser les recettes pour financer la production de tabac. Qui dit mieux ?